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D’importantes perturbations à la frontière à l’horizon alors que le portefeuille informatique du Brexit devient « ingérable »

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Le gouvernement s’efforce d’éviter le risque de perturbation majeure des frontières alors que les travaux sur une pléthore de systèmes informatiques nécessaires pour soutenir le commerce post-Brexit sont en retard.

Une note du Cabinet Office consultée par Bloomberg cite des  » lacunes critiques  » dans la préparation de la technologie à utiliser par les entreprises de transport et les expéditeurs de fret après la période de transition après la fin de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) à la fin de l’année.

Le document mentionne également que sur les 10 nouveaux systèmes en cours de développement pour soutenir le Brexit à l’heure actuelle, au moins trois sont actuellement en cours de conception. « C’est totalement inutile et ingérable avec les chevauchements et les chevauchements », peut-on lire dans la note de service distribuée par le Groupe de la prestation des frontières et du protocole.

Pour gérer les déclarations douanières nécessaires pour assurer le fret de marchandises telles que la nourriture et les médicaments, le gouvernement est en train de construire le Smart Freight Service, une application web que les opérateurs devront utiliser pour savoir s’ils ont les documents nécessaires et sont en mesure d’entrer dans les ports de canal.

Cependant, à quatre mois de l’expiration de la période de transition du Brexit, l’industrie du fret s’inquiète de plus en plus du fait que les entreprises n’auront pas assez de temps pour former du personnel sur la façon d’utiliser le nouveau système.

Selon la note de service divulguée, la situation en Irlande du Nord est également préoccupante, car il n’existe pas de protocole d’exploitation pour les douanes ou d’informations sur l’emplacement des points de contrôle intérieurs et même sur les systèmes que certains ports utiliseront. En août 2020, le gouvernement a annoncé qu’il injectait 200 millions d’euros dans un service de soutien aux traders et 155 millions d’euros pour développer une technologie pour soutenir les commerçants à la frontière de l’IN.

En juillet 2020, le gouvernement a annoncé que HMRC obtiendrait plus de 100 millions d’euros pour les systèmes informatiques frontaliers. Le financement visait à améliorer les systèmes visant à « réduire le fardeau des commerçants » et à « s’assurer que les nouveaux contrôles puissent être pleinement mis en œuvre un « environnement de roulement et de roulement » à la frontière, créant ainsi une expérience transparente.

Le même mois, une consultation a été lancée pour recueillir des points de vue sur la façon dont les approches numériques peuvent améliorer les demandes des commerçants et des voyageurs d’ici 2025. Les idées recueillies dans le cadre de la consultation éclaireront une stratégie complète pour les frontières du Royaume-Uni qui sera publiée d’ici la fin de 2020.

Avant l’annonce du financement des nouveaux systèmes en juillet, il est apparu que HMRC n’avait pas commencé le développement du système informatique du Service de circulation des véhicules de marchandises (GVMS), qui est destiné à permettre aux camions de déclarer les marchandises avant d’atteindre la frontière. À l’époque, le chef de la sortie de l’UE du port de Douvres proposait de ne faire qu’autoriser le système informatique Français.

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